L’application de permaculture vise à s’inspirer de la nature pour développer des systèmes agricoles en synergie, basés sur la diversité des cultures, leur résilience et leur productivité naturelle. L’objectif étant de produire un environnement harmonieux, résilient, productif et durable.
L’APPLICATION DE PERMACULTURE
Zonage
Définition
La mise en oeuvre de permaculture se base sur un travail de zonage qui articule trois démarches complémentaires : l’écologie, l’agriculture et l’architecture du paysage. Il s’agit de planifier et d’aménager votre terrain de façon optimale.
Pour cela, vous devez tenir compte des différents éléments en présence, des activités en rapport avec ces éléments et de la circulation des flux d’énergie au sein du système. Le zonage permet justement de respecter les principes d’efficacité énergétique, chers à la permaculture, en guidant le placement des éléments d’un système.
Sur quel principe les zones de permaculture sont-elles définies ? Combien de zones comporte un zonage en permaculture ? Quel est le rôle de chaque zone ? On vous dit tout ce qu’il faut savoir sur le zonage .
Les zones en permaculture obéissent à un principe de fonctionnement simple et logique : la distance d’un élément par rapport au lieu d’habitation doit varier selon le degré de dépendance entre cet élément et les habitants du lieu.
Concrètement, cela signifie que plus un élément exige une intervention humaine (besoin en eau, soin des plantes, récolte des fruits et légumes, etc.), plus ce dernier doit avoir sa place à proximité du lieu d’habitation.
Selon ce principe, vous devez cartographier votre terrain en fonction de vos habitudes de cheminement.
Le principe du zonage permet d’éviter une dépense inutile d’énergie en matière de trajet et de déplacement. En découpant un terrain en zones, vous optimisez l’utilisation de votre lieu de travail.
Les différentes zones d’un design de permaculture
La permaculture distingue 5/6 zones différentes classées de la zone la plus intensive à la zone la plus sauvage (zones 1 à 5). La zone 0 correspond au centre du système, autrement dit à la maison.
Zone 1:Cette zone de soin intensif nécessite une observation et un travail permanents. La zone accueille en général le potager avec ses plantes médicinales et aromatiques, les abris de culture comme une serre, un lieu de stockage pour l’eau ainsi que le compost.
Zone 2:Cette zone est cultivée de manière semi-intensive. Elle peut accueillir les animaux de basse-cour et toutes les cultures qui exigent un entretien régulier (désherbage, irrigation, etc.).
Zone 3:Cette zone contient les cultures ou les prairies dédiées à la production de la biomasse, aux vergers et aux haies. Les animaux de la ferme y trouvent leur place : vaches, moutons, chèvres, chevaux, etc.
Zone 4:Cette zone semi-sauvage exige peu de soins. Les animaux comme la vache ou le cochon peuvent s’y nourrir de manière autonome. On y trouve les plantes suivantes :
- des arbres utiles, notamment pour le bois de chauffage ;
- des plantes sauvages médicinales et comestibles ;
- des cultures pour la production de biomasse (foin) ;
- des haies de clôtures.
Zone 5/6:Cette zone sauvage accueille des plantes et des animaux indigènes. La nature n’est soumise à aucune intervention humaine hormis la cueillette de plantes utiles et le ramassage de bois. Il s’agit d’une zone de taillis, de bois ou de forêt.
Les zones sont représentées sous forme de cercles concentriques pour mettre en évidence la distance par rapport au lieu d’habitation. Mais la mise en place des zones peut être influencée par d’autres facteurs :
- la présence de chemins souvent empruntés ;
- les éléments en place (par exemple, un poulailler se trouvera forcément en zone 2) ;
- les caractéristiques du lieu (fertilité du sol, topologie, ensoleillement, etc.) ;
- la visibilité du lieu (une partie visible est susceptible d’être plus souvent visitée).
D’autres éléments peuvent entrer en jeu. Par exemple, vous pouvez envisager de faire pénétrer la zone 5 jusqu’aux abords de votre maison afin de profiter d’une vue agréable et d’offrir un espace de vie à la biodiversité.
Le principe du zonage n’est qu’une des nombreuses techniques fournies par la permaculture pour donner vie à des écosystèmes cultivés à la fois durables et résilients.
DESIGN
Il n’y a pas une méthode de permaculture, c’est à chacun de réfléchir et de construire sa propre permaculture,basée sur l’observation précise du fonctionnement des écosystèmes (notamment en termes de productivité et d’efficacité), la permaculture en tire des modes de conception non figés, adaptables selon les domaines d’application. Il en résulte cependant une méthode aux principes universels, développée sous le terme de « design permaculturel ».
Le design permaculturel (le mot design regroupe ici les notions de projet et de processus de réalisation) se met en place à partir de trois exigences éthiques fondatrices :
- préservation de l’environnement et de la biodiversité ;
- volonté de construire une communauté visant au bien-être individuel et collectif ;
- partage des ressources et redistribution équitable des surplus (au bénéfice de l’environnement et des humains).
La méthode en elle-même s’appuie sur des incontournables :
- appréhension globale des problématiques et des systèmes ;
- analyse des modes de connexion entre les éléments d’un système ;
- application, aux systèmes déficients, de solutions tirées de systèmes opérationnels et éprouvés ;
- analyse des écosystèmes naturels pour corriger les erreurs d’implantation de l’activité humaine et planification d’une intégration optimale.
1 – Observez votre environnement
Quelles plantes poussent seules dans votre ferme, quels animaux et insectes y vivent ?
Comment est orienté votre ferme, qu’est-ce qui est exposé au soleil et combien de temps, où le vent est-il le plus fort ?
Quels sont les endroits les plus humides et les plus secs ?
Quelles sont les ressources dont vous disposez, en terme de matériel, de budget, de temps, d’espace ?
2 – Sélectionnez vos légumes et végétaux
En permaculture, le potager n’est pas composé que de légumes, il existe dans un ensemble global de végétaux qui se complètent.
Listez ceux que vous voulez faire pousser, puis regroupez les par besoins et sensibilités, et les interactions qu’elles peuvent avoir entre elles : plantes amies et compagnes.
Privilégier les plantes qui se ressèment, pour des plantations plus pérennes et un moindre coût financier et temporel.
Les adventices:Elles ne sont plus appelées mauvaises herbes, et pour cause ! Nombre d’entre elles sont utiles, aux auxiliaires, à la terre qu’elles protègent ou nourrissent, à nous car elles nous donnent beaucoup d’indications sur la nature de notre sol. Et en plus, certaines se mangent ! En occupant tout le temps vos espaces, vous limiterez leur propagation.
L’association de certaines plantes entre elles permet d’obtenir de belles récoltes et d’avoir un beau jardin potager en aidant le jardinier à limiter voire éviter l’utilisation d’engrais chimiques et pesticides. Cette méthode appelée le compagnonnage est issue de l’observation et de la pratique.
Pour bien associer les plantes, quelques principes sont à connaître :
- Les Apiacées (appelées également Ombellifères) se protègent réciproquement.
- Les Légumineuses enrichissent le sol en azote. Les associer à des plantes comme la tomate ou les cucurbitacées, qui ont besoin de cet apport, est conseillé.
- Les Liliacées et les Légumineuses doivent être séparées car elles ne font pas bon ménage.
Certaines plantes aromatiques, grâce à leurs odeurs particulières, peuvent éloigner voire éliminer des insectes nuisibles.
-Quelques exemples d’association de plantes au jardin-
L’ail éloigne les insectes en général. Il s’accorde avec les carottes, betteraves, fraisiers et tomates. Ne jamais planter d’ail près des choux, haricots et pois.
L’ aneth protège les carottes et concombres. N’hésitez pas à les planter ensemble.
Le basilic est un fort répulsif des mouches et moustiques. Il s’associe parfaitement avec les tomates, asperges, poivrons, piments, aubergines.
La bourrache attire les abeilles, fait fuir les limaces, réduit les doryphores, éloigne les vers des tomates. Elle est appréciée des pommes de terre, courgettes, choux, fraisiers, tomates.
La capucine attire les pucerons (il vous suffira ensuite d’arracher les capucines et de les brûler), éloigne les punaises des courgettes et citrouilles. Elle s’accommode avec les radis, courgettes, choux, tomates.
Le cerfeuil réduit l’invasion des limaces.
La lavande éloigne les pucerons.
Les œillets d’Inde protègeront la plupart de vos plantes (pommes de terre, tomates, asperges, haricots, choux) des insectes nuisibles. A planter en bordure de votre jardin.
Le thym éloigne les mouches blanches, protège les choux et brocolis.
Autres recommandations pour un potager « bio »:
Pour éviter la multiplication des nuisibles et l’appauvrissement de votre sol, pensez à la rotation de vos cultures.
Ne pas négliger l’arrosage, si possible goutte à goutte, avec de l’eau de pluie récupérée.
-Les associations favorables au jardin potager-
- Ail : betterave, fraisier, laitue, carotte, tomate
- Artichaut : fève
- Asperge : haricot, persil, tomate
- Aubergine : haricots vert
- Carotte : poireau, oignon, laitue, pois, radis, tomate, haricot nain, ciboulette, coriandre, scorsonère, romarin
- Céleri branche : poireau, tomate, chou fleur
- Céleri rave : radis, betterave, pois, haricot
- Ciboulette : carotte, concombre
- Courge : maïs, laitue
- Cresson : radis
- Echalotte : betterave, fraisier, laitue, tomate
- Epinard : betterave, fraisier, laitue, haricot à rame
- Fraisier : bourrache, épinard, laitue, haricot nain, tomate, thym
- Fève : artichaut, maïs
- Haricot : pomme de terre, carotte, concombre, chou-fleur, fraisier, aubergine, maïs, chou, betterave, céleri, épinard, sarriette
- Laitue : chou-fleur, aneth, carotte, radis, fraisier, concombre, courge, poireau
- Mâche : poireau, oignon blanc
- Maïs : pomme de terre, concombre, courge, pois, fève
- Navet : pois, romarin, menthe
- Panais : oignon
- Persil : asperge, tomate
- Poireau : oignon, tomate, carotte, laitue, céleri, mâche
- Pois : navet, concombre, carotte, radis, maïs, pomme de terre, chou-rave
- Pomme de terre : haricot, maïs, chou, pois, fève, raifort
- Radis : pois, laitue, carotte, cresson, épinard
- Tomate : ail, oignon, carotte, asperge, céleri, poireau, basilic, persil
- Tournesol : concombre
-Les associations défavorables du potager-
- Absinthe : carvi, sauge, anis, fenouil
- Ail : pois, haricot, fève, lentille
- Basilic : rue officinale
- Betterave : haricot à rame
- Carotte : betterave
- Cerfeuil : radis
- Chou : fraisier, tomate, oignon
- Chou-rave : haricot, tomate
- Concombre : pomme de terre, tomate
- Courge : pomme de terre
- Echalote : pois, haricot, fève, lentille
- Fenouil : tomate, chou-rave, absinthe, coriandre, carvi, haricot, pois, échalote
- Haricot : oignon, ail, échalote, tomate, fenouil
- Laitue : tournesol, persil
- Melon : concombre, courge
- Oignon : pois, haricot, fève, lentille
- Poirée : poireau
- Pois : ail, échalote, oignon, poireau
- Pomme de terre : tomate, courge, carotte, oignon, framboisier, arroche, tournesol
- Radis : cerfeuil
- Tomate : haricot, concombre, chou-rave, pomme de terre, betterave
3 – Dessinez votre projet
Que planter pour protéger des vents dominants, où placer les végétaux les plus utilisés dans la vie de tous les jours : légumes, aromates, pour qu’ils soient le plus accessibles possible, créer des zones plus ou moins proches de l’habitation selon les activités humaines.
4 – Créez des parcelles
Le principe est généralement de cultiver au-dessus du sol, pour ne pas épuiser ses ressources. Les types de parcelles sont très variés : trou de serrure, lasagne, plate-bande permanente, buttes, bottes de pailles, potager 3P. Si vous faites des bordures végétales, prenez une plante qui a peu de besoins et un système racinaire léger, pour ne pas faire de concurrence aux végétaux plantés à l’intérieur. À moins qu’elle n’ait aussi une utilité ! Vos parcelles doivent être assez larges, mais vous devez pouvoir en atteindre facilement le centre, 1m20 est raisonnable. Vous ne devez pas avoir à marcher dans vos planches de culture, ça tasse le sol, empêchant les vers de terre de faire correctement leur boulot ! *
En permaculture, la terre n’est jamais retournée ni bêchée. Par contre l’aérer est permis, à 15 cm de profondeur maximum, à l’aide d’une griffe ou d’une grelinette.
Placer les plantes les plus hautes au centre permet, en plus de rendre l’accès à toutes plus facile, de faire de l’ombre aux plantes plus petites.
Faire pousser en hauteur : treillis, suspensions, tipis, pour gagner de l’espace et ombrager.
Les parcelles doivent être utilisés tout le temps, donc sélectionnez pour aller ensemble des plantes qui se succèdent dans le temps. Cette méthode d’occupation présente plusieurs avantages :
– ne pas laisser le sol nu, ce qui empêche la prolifération des plantes non choisies au détriment de ce que vous voulez voir pousser.
– faire profiter aux jeunes pousses des éléments organiques des plantes en fin de cycle qui vont libérer des éléments nutritifs.
La plantation est rarement en ligne, elle se fait au gré des compagnonnages.
5 – Garder toujours le sol couvert
Paillez vos parcelles : copeaux de bois, cartons, compost, en faisant des couches.
Paillez systématiquement entre vos plantations : vous éviterez la pousse des adventices et vous limiterez l’évaporation de l’eau, le gain est sérieux, d’environ 3 arrosages sur 4, les micro-organismes et petits insectes peuvent y travailler à décomposer les éléments qui sont disponibles, taux d’humidité et température sont plus stables, ce qui réduit le stress des plantes.
Le BRF
Le Bois Raméal Fragmenté est issu de rameaux jeunes, de moins de 2 ans, qui ont été broyés. Ce broyage permet aux champignons de pénétrer rapidement dans le bois (ils ne peuvent pas pénétrer dans l’écorce) et de le digérer. Ce BRF étalé à la surface du sol rend le sol fertile et aux bons soins des végétaux, en y développant mycélium et humus.
Les feuilles mortes
Très semblable au “paillis” qui couvre le sol des forêts, sol idéal s’il en est, vous devez récupérer les feuilles mortes de votre jardin, ou pourquoi pas au bord des routes et les utiliser au pied de vos végétaux. Évitez cependant les feuilles mortes des noyers et des fruitiers.
Les tontes d’herbe
Faites sécher l’herbe coupée 2 ou 3 jours au soleil avant de l’utiliser en paillis de 10 cm, pour avoir une couverture durable.Riches en azote, elles sont particulièrement adaptées aux haricots, pois, laitues, pommes de terre et autres gourmandes et limitera l’évaporation afin de conserver un sol humide pour les plantes.
Les engrais verts
Ce sont des plantes à croissance rapide que l’on sème sur un sol nu afin de couvrir une parcelle entre deux cultures.Couvrant un sol nu et permettant au sol d’être plus perméable, grâce à leurs racines, ils apportent en plus, une fois fauchés ou recouverts par un paillis, des nutriments indispensables aux végétaux.
Voici quelques exemples d’utilisation d’engrais vert :
- Pour sol acide : Sarrasin (grand pouvoir désherbant), Lupin
- Pour décompacter le sol : Phacélie, Seigle, lin
- Pour fixer l’azote : Féverole, Vesce, Luzerne, Trèfle blanc et Trèfle Incarnat, Fénugrec, Melilot, Sainfoin, Lotier corniculé
- Pour désinfecter le sol des nématodes : Phacélie, Moutarde
- Pour apporter des matières organiques : Moutarde, Phacélie, Seigle
6 – Optimiser chaque élément
Les interactions
Les éléments de votre ferme doivent pouvoir interagir entre eux, pour être utiles à plusieurs fonctions : des poules vous nourrissent, se délectent des limaces, fertilisent le sol et se nourrissent de vos déchets, les engrais verts couvrent le sol, leurs racines nourrissent les organismes du sol, les éléments nutritifs qu’elles contiennent nourriront le sol une fois qu’elles seront décomposées. Les plantes compagnes se protègent ou s’aident les unes les autres.
Recycler l’eau
Récupérer les eaux de pluie dans des contenants ouverts permet non seulement de disposer d’eau pour l’arrosage, mais aussi d’attirer des oiseaux qui viendront y boire et vous débarrasser des insectes indésirables. Des réservoirs placés un peu partout dans le jardin vous feront économiser efforts et déplacements. Installez un système d’arrosage en goutte-à goutte pour les végétaux à qui ça va bien.
Faire son compost
Vos déchets, du jardin autant que de la maison servent à amender le sol qui vous nourrit, un cercle vertueux.
7 – Préserver la biodiversité
Pour réussir une ferme en permaculture, réintroduire et accroître la biodiversité sont essentiels. Différente en fonction des régions, la biodiversité constitue l’ensemble des espèces de la faune et de la flore présent dans la nature. L’interaction entre chacune des espèces favorisent l’équilibre des systèmes. Comment accroître la biodiversité en permaculture ? Explications.
Favoriser le retour des insectes et animaux alliés du jardin
De petits animaux ou insectes au jardin se nourrissent d’autres insectes et larves ou participent à la pollinisation. Ces animaux, quelquefois invisibles, sont un moyen naturel et écologique de lutter contre les nuisibles du jardin. La biodiversité en permaculture favorise le retour des auxiliaires, pollinisateurs et décomposeurs. Voyons quels sont ces alliés qui aident à la préservation de l’écosystème.
Les animaux et insectes auxiliaires
Du hérisson en passant par la coccinelle, le perce-oreille ou encore les oiseaux, ces insectes et animaux auxiliaires sont très utiles au jardinier. Leur présence permet de lutter de manière naturelle contre les limaces, les pucerons et les parasites qui envahissent les cultures et les plantes au potager.
Les insectes pollinisateurs
En permettant la reproduction des végétaux à fleurs, les insectes pollinisateurs sont indispensables à la production d’une grande quantité de fruits et de légumes. Pour accroître la biodiversité en permaculture, il faut inviter au jardin les abeilles, bourdons et papillons.
Les insectes décomposeurs
Animaux de petite taille comme le vers de terre ou le cloporte, ils décomposent la matière organique. Leur travail nettoie et draine le sol. Ils fertilisent la terre avec leurs déjections.
Récréer un habitat naturel pour la faune locale
Garder les animaux alliés au jardin, c’est aussi leur recréer un espace de vie et un habitat naturel. En utilisant des matériaux ou objets de jardinage, des débris comme du bois ou un tas de feuilles, vous incitez les auxiliaires à rester sur place. Un système efficace, l’hôtel à insectes !
Réintroduire la diversité végétale au jardin
La biodiversité en permaculture, c’est aussi favoriser la diversité végétale. Plus la diversité est importante, plus la biodiversité s’enrichit de la venue de nouveaux insectes et animaux. Favoriser le développement des arbres, d’un potager fleuri, d’une mare ou encore d’une haie. Ces espaces offrent un lieu de vie à la faune et préservent un équilibre durable et naturel de l’écosystème.
Une fois votre jardin/ferme en permaculture conçu et réalisé, laissons faire la nature 😉
Merci
C est très important et enrichissant
Merci Mme.Mina pour votre commentaire
Nous sommes vraiment ravis que vous ayez apprécié notre article.
Intéressant. En fait je me demande s’il existe des spécialistes en permaculture qui peuvent donner des formations pratiques dans ce domaines. suis intéressé. merci
Merci M.Redouane pour votre commentaire
Il excite des formateurs indépendants et des associations qui donnent des formations sur la permaculture et les applications écologiques ;pour les bien choisir il faudra avoir la reconnaissance de la formation, l’adéquation de la formation avec votre projet, le programme, mais aussi sa durée et son coût.